Des tonnes of bitch
De la femme, des plotes, d’la gonzesses, des agaces, appelez les comme vous voulez elles regorgent à Daytona. De l'autre côté t'as les monsieur muscles, les cranes d'œuf, les têtes de con, les chercheux de salopes qui sont affamés devant tant de viande. Ce n’est pas nouveau, l'American Dream envahie la tête de plusieurs québécois fils de riche, fils eux mêmes de snowbird bronzés à l'os. Une génération désespérante reflétée dans la caméra de Daytona: Le film.
Ce petit résumé donne une bonne idée du quotient qui règne sur la plage. Du montre totons, des frenchs à gauche à droite, du "regardez moi j'ai besoin d'attention!". Bref, un paquet de superficialité tout de suite mis à mort par une seule phrase sortant de leurs bouches. Ces témoignages pris sur le vif par une équipe de journalistes indépendants du nom de "Amérika Orkestra" donnent une bonne idée du quotient des interlocuteurs. Les images sont belles, la trame sonore est toujours la même; celle qui donne un goût d'amertume dans la bouche. Une petite ligne de de pitié sur feuille musicale.
Je le recommande pour tout amateur du genre.
Marc-)O--